Exposition

Voici l'histoire de Germaine, l'héroïne de notre projet. Grâce à elle, vous pourrez parcourir les villages de Pont-à-Celles. À travers les histoires et anecdotes trouvées dans son récit, ce projet, qui durera plusieurs années, visitera tous les villages de l'entité. Ensuite, nous réaliserons un regroupement de toutes les archives récoltées durant toute l'opération "Qui est Germaine ?".

Nous avons tous une Germaine dans nos connaissances qui pourrait nous faire (re)découvrir nos souvenirs ainsi que nos petits plaisirs d'enfance.

L'HISTOIRE DE GERMAINE

Germaine est née, il y a bien longtemps, dans le village.  

Son papa y était fonctionnaire bien avant la fusion des communes.  

Sa maman, quant à elle, était femme au foyer.  

Au sein de cette famille, Germaine était fille unique.  

Enfant, elle aimait parcourir les rues du village en se racontant toutes les histoires merveilleuses qui  s’y passaient … ou qui s’y étaient passées.  

Elle adorait cuisiner et, tout particulièrement, faire des gaufres avec sa maman.  Son péché mignon était, sans conteste, de lécher le plat de pâte à la fin.  

Plus tard, elle prit plaisir à partir à la découverte des richesses qui l'entouraient. Elle put immortaliser son environnement grâce à l'appareil photo que son papa avait reçu à l’achat  de sa première voiture. Quel événement !

Au milieu de toutes ces images, elle grandit heureuse.

Un jour, Germaine rencontra Henri.  

Ils étaient jeunes, beaux et insouciants.

À l'époque, Henri habitait à Charleroi et venait passer ses vacances chez sa grand-mère, native du  village, qui habitait juste à côté de l'église.  

C'est là qu’ils tombèrent amoureux.  

Lorsque que les vacances arrivaient, impatients et le coeur battant, c’est là aussi qu’ils se retrouvaient.  

Et puis Germaine épousa Henri.  

Par amour, elle le suivit à Charleroi.  

Dans cette nouvelle ville, Germaine entreprit des études pour devenir institutrice.  C’est dans le bonheur de ce mariage qu’ils élevèrent trois enfants.

Quelques années plus tard, pour des raisons professionnelles, Henri fut muté à Bruxelles.  Germaine vécut dans la capitale et ne revint jamais dans son village natal … et la vie poursuivit  son cours.

La personnalité de Germaine la rend attachante et son enthousiasme pour l’Histoire - la grande et  la multitude de petites - est communicatif.

Au cours de sa carrière d’institutrice, elle s’est évertuée à transmettre l’importance de connaître ses  racines et de se réapproprier son passé et son héritage.  

Repensant à son parcours et, peut-être un brin nostalgique, elle commença à regretter d’avoir négligé  les siennes. 

Qu’était devenu le village de son enfance ? De combien de ces multitudes de petites histoires était-il  parsemé maintenant ? Qu’étaient devenues les rues et ruelles de sa jeunesse ? Germaine éprouvait un besoin ardent de renouer avec ses origines, de découvrir les secrets que le  village gardait enfoui depuis son absence.

Oh, mais ne vous y méprenez pas, le bonheur emplissait la vie de Germaine et de son cher Henri ! Jusqu’à il y a un an …  

Voici un an que Henri nous a quittés et son départ n’a fait qu’amplifier la nostalgie de Germaine.  Maintenant, elle est seule mais déterminée ! Elle va combler le vide en se plongeant dans ses souvenirs.

C'est ainsi qu'un jour, en triant des photos avec son petit-fils Louis, Germaine décide de retourner  dans le village où elle a rencontré l'amour de sa vie. Elle souhaite reconstituer le puzzle, retrouver une part  de son histoire et d'elle-même.

Il faut dire qu’avec l’âge, la mémoire nous fait défaut, les contours des événements du passé  deviennent flous.

Mais avec l'aide de Louis, Germaine ne se laisse pas abattre ! Oh, non ! Ce serait mal la connaître !

Envahie d’une énergie nouvelle, elle va tenter de mobiliser la solidarité des habitants du village.  Ils vont l’aider, c’est certain ! L’aider à retrouver l'endroit exact où elle a rencontré l'amour de sa vie.  Oh Henri !  

Avec le soutien de tous ces gens, l’album d’une vie va se compléter, les souvenirs vont refaire surface e t les racines sortir de terre !

Allez ! En route pour cette aventure !
 

Chaque moment passé à peindre (ou à gribouiller dans mes cahiers, à coller, à écrire) est unmoment agréable passé avec moi-même, rempli de liberté, d’exploration, de découvertes et de
joie.

J’ai choisi l’abstrait pour la liberté totale que je m’octroie, parce que cela me permet de peindre de manière intuitive et parce que chacun peut y voir et ressentir ce qu’il veut. C’est une forme
de transmission et de partage. Et surtout j’ai envie de montrer que tout le monde peut sedécouvrir un talent créatif et artistique.

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Jean Delcourt est un artiste sculpteur et maître fondeur spécialisé dans la technique du bronze à cire perdue.

Son talent lui permet de créer des sculptures à la fois audacieuses et raffinées qui ont valu à ses oeuvres une reconnaissance internationale.
En plus de son travail d’artiste il dirige des ateliers de formation en France et en Belgique où il transmet sa passion et son savoir-faire aux générations futures d’artistes et de fondeurs

Jean DELCOURT est un artiste polyvalent qui aime marier le bronze avec d’autres matériaux notamment le bois pour créer des œuvres d'art uniques qui ont une signification profonde et une beauté intemporelle.

Ses créations sont présentes dans les collections publiques et privées.

Il continue de créer des œuvres d’art pour le plus grand plaisir d’amateurs et de connaisseurs de sculptures.

Autodidacte, j’ai toujours rêver de peindre. Ce rêve s’est réalisé lorsque j’ai rejoint en 2016 l’atelier Papotes et Couleurs.

La peinture et le sentiment de liberté qu’elle procure, le pouvoir de passer de la réalité à la fiction, laisser libre cours à son imagination et vagabonder ses pensées...créer son propre univers et lâcher prise...

J’utilise l’acrylique et je m’essaye parfois à l’huile…
J’aime m’essayer à différents styles et sujets mais de plus en plus je me tourne vers l’abstrait et les techniques mixtes ( relief, structure, matière…)

Mon plaisir est de tenter de réaliser la toile que vous aurez envie d’accrocher dans votre intérieur ou d’offrir à une personne chère...

Je pratique l’art activement depuis 1988, d’abord avec la céramique, et maintenant, depuis pas mal d’années au travers de la photographie.  L’art est une porte ouverte vers l’âme, la conscience, une autre dimension, qu’il soit pratiqué, côtoyé, admiré ou même détesté. Je cherche à sortir des chemins battus pour trouver une autre voie vers l’âme des spectateurs, les laissant libres d’ouvrir une porte pour qu’ils s’y engouffrent

Style :  #macrophotography #naturephotography #flower #flowerphoto 

Styles variés : de la "copie" d'oeuvres d'art, des paysages et de la peinture abstraite, intuitive.
Ma rencontre avec la peinture et le dessin est issue d'une formation en art-thérapie, il y a une quinzaine d'années.

Mokiris est un jeune illustrateur et auteur de bande dessinée professionnel. Quand il ne travaille pas sur ses projets, il donne des cours de dessin pour tous les âges.

Que représente votre art pour vous ?
Le dessin a une place importante dans ma vie. Je suis passionné. C’est ce qui me motive à sortir du lit le matin. Encore plus lorsqu’il y a du challenge et des messages engagés politiquement.

Quelle est votre intention / message à travers votre art ?
Je travaille pour une meilleure représentation des minorités. Le féminisme inclusif, la fin du patriarcat et du capitalisme sont des sujets importants pour moi. Je cherche encore comment lutter à travers mon travail. 

"Il y a sept ans, je me suis découvert une véritable passion pour le travail de l’argile. 

Autodidacte, J’aime particulièrement les terres chamottées. 

J’adore décorer des jardins avec des personnages suspendus ou assis sur des arceaux de fer forgé mais j’aime tout autant modeler de petits personnages (bretons notamment) ou encore des fleurs des champs, tels les coquelicots".

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“ Née au Zaïre, j’emprunte à mes origines des fragments de souvenirs, écritures et couleurs et de matières. La technique de cuisson que j’utilise pour la réalisation de mon travail est la technique de l’enfumage (Raku), méthode ancestrale japonaise de cuisson de la terre, méthode qui exige un dialogue constant entre l’artiste et les éléments avec lesquels je travaille. 
La trace , qu’elle soit écriture ou tout autre, a toute son importance dans le travail réalisé.
Depuis deux ans, inscrite à l’ACA de Charleroi dans la section Arts Textiles ,  je travaille à l'association de la terre et du textile”.

Portrait:

Carolo d’origine, j’habite à Liberchies depuis 8 ans. 
Naissance en Afrique en 1950.
Mère de 3 enfants et grand-mère de 10 petits enfants.
Sociologue de formation, j’ai essentiellement exercé dans le monde de la formation pour adultes peu scolarisés  et  des jeunes en décrochage scolaire.
En 1990, j’entame des études de Céramique sculpturale à l’Académie des Beaux Arts de Charleroi, dans le cours de Marc Feulien (céramiste de renom de Frasnes lez Gosselies).
Diplômée en 2001 en Céramique sculpturale, je  poursuis à l’Académie des Beaux Arts en Poterie chez  Jean Claude Legrand mais toujours dans le domaine de la céramique sculpturale.
Obtention de plusieurs prix, dont le  prix à l’Expo Concours de Scailmont/La Louvière (prix de l’administration Communale) – 1997 et le deuxième prix des Métiers d’Arts du Hainaut 1998.

Participe à de nombreuses expositions collectives en Belgique et à l’étranger, jusqu’en 2015, ainsi qu’à une vingtaine d’expositions privées.

Plusieurs oeuvres acquises dont le  Musée des Beaux arts de Charleroi (Collection permanente),  la Commune de Manage, la Province du Hainaut et la Ville de Mamer – Luxembourg. 

Illustration  d’une revue de psychothérapie «Cahiers de la  Gestalt»  et publication d’œuvres et article dans la revue française « Céramique moderne ».
 

Artiste autodidacte habitant de Liberchies, cela fait 8,5 ans queDavid Deltenre pratique l’aquarelle. Attiré par les contrastes et les jeux de lumière, il aime les nombreux effets que permet cette technique difficile à maîtriser. C’est ce qui en fait un défi à  chaque session. L’aquarelle reflète particulièrement les sensations de l’artiste. Cela se ressent dans la façon dont les jeux d’eau sont modelés sur le papier. La spontanéité obtenue (relative car elle requiert de la stratégie si l’on veut éviter les accidents), le côté brut du trait de crayon mêlé de tâches de couleurs, la lumière surgissant près d’une masse sombre sont tant d’éléments qui rendent la peinture passionnante à mes yeux. Les sujets ruraux, paysages urbains,et les voyages font partie de ses inspirations.